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DU JEUDI 2 OCTOBRE (14 H) AU DIMANCHE 5
OCTOBRE (14 H) 1997
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DIRECTION : Paul GIFFORD, Alain
GOULET
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ARGUMENT :
Le sujet de l'écriture - au-delà ou en deçà du Moi et même de celui qui
dit "je" -, c'est celui qui se dit par son énonciation, qui prend forme
par sa (ses) voix, qui se constitue par le travail des mots, qui trace
dans son texte le sillage par lequel il advient.
Pour quel Autre? "Pour qui ces mots si beaux?" (Valéry). Vers quels
conscience, reconnaissance ou savoir? Mais aussi à partir de quelle
ignorance, et pour quelle efficacité?
Ce colloque se propose d'examiner ces questions d'un point de vue
théorique comme aussi dans divers champs de la littérature française
moderne.
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CALENDRIER DÉFINITIF :
Jeudi 2 octobre
Après-midi:
ACCUEIL DES
PARTICIPANTS
Joseph LONG:
Ici je termine... Samuel Beckett et l’auteur spectral
Antoinette
WEBER-CAFLISCH: Le texte autogénéré, un mythe et - quelque peu -
sa pratique
Vendredi 3
octobre
Matin:
Anne CHEVALIER:
La petite musique du style, des "Borborygmes" au "Piano à écrire"
Paul GIFFORD:
"De mes pieds nus qui trouvera la trace...": Valéry et les pas de
l’écriture dans La Jeune Parque
Après-midi:
Michaël
SHERINGHAM: André Breton et l’avènement du sujet surréaliste
Pierre VAN DEN
HEUVEL: Le rôle des déictiques dans la constitution du sujet
Samedi 4
octobre
Matin:
David
GASCOIGNE: Le souffle et l’autorité. À propos du Vent Paraclet de Michel Tournier
Alain GOULET:
L’investissement du sujet de l’écriture dans Instantanés de Robbe-Grillet
Après-midi:
Johnnie
GRATTON: Roland Barthes et le sujet de l’énonciation
Mairéad
HANRAHAN: L’écriture de la genèse d’Hélène Cixous
Dimanche 5
octobre
Matin:
Jean-François
JEANDILLOU: Du sujet comme "je d’ombre" ou le scripteur
inexistant
Conclusions
Après-midi:
DÉPARTS
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Avec le soutien de l’Université de Caen
Basse-Normandie
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